Où saisir mes observations en dehors de l'île-de-France?
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samedi 2 février 2019
C’est le moment de chercher les Sizerins flammés et cabarets !
Cet hiver, très peu de Sizerins ont été observés dans notre région : tout juste une douzaine fin janvier, alors que l’hiver dernier ils se comptaient par centaines...
Le défi du moment consiste à préciser l’espèce entre Sizerin cabaret (la plus commune, nichant notamment dans les Alpes et les Îles Britanniques) et Sizerin flammé (l’espèce boréale nichant du nord de la Scandinavie à la Sibérie). L’hiver dernier (2017-2018) cette dernière a connu un afflux exceptionnel dans notre région avec plus de 300 oiseaux homologués par le CHR. S’agissait-il d’une phénomène ponctuel ou d’une tendance nouvelle ? Vous pouvez nous aider à y voir plus clair !
Où chercher des Sizerins ?
L’hiver, les deux espèces fréquentent de préférence les bois de bouleaux dont ils consomment les graines. Mais on peut aussi, comme l’hiver dernier, les trouver parfois dans les parcs urbains, les cimetières ou les jardins, notamment sur des Paulownias, arbres d’ornement communs dans Paris. L’an dernier, c’est même Paris intra muros qui a accueilli le plus grand nombre de Sizerins flammés, avec en tout plus de 130 oiseaux !
Comment distinguer le Sizerin flammé du cabaret ?
Jusqu’en 2016 ils étaient considérés comme une seule et même espèce. Depuis que la Commission de l’Avifaune Française les a séparés, il devient important d’apprendre à les distinguer. Le Sizerin cabaret, de loin le plus commun chez nous, a une teinte générale chaude, fauve cannelle. Le Sizerin flammé se distingue par une corpulence supérieure, un plumage plus pâle à dominante gris-beige, de nettes stries blanches sur le dos, un croupion blanc plus ou moins tacheté, un sourcil pâle marqué, des joues grises, de nettes barres alaires blanches et chez les mâles adultes, une poitrine plus rose que rouge. Les oiseaux de premier hiver sont beaucoup plus difficiles à identifier du fait de leur plumage plus brun qui peut prêter à confusion. Pour compliquer le tout, les deux espèces peuvent parfois s’associer l’hiver au sein des mêmes troupes. Dans tous les cas, l’idéal est de réaliser des photos sous différents angles, montrant le maximum de critères. L’identification précise pourra toujours se faire après coup !
En cas de doute, vous pouvez toujours saisir votre observation en « Sizerin indéterminé »... mais bien sûr ce n’est pas l’idéal !
Des photos pour comparer
Grâce aux contributeurs de Faune-Ile-de-France qui déposent des photos, vous pouvez voir des images des deux espèces de sizerins en suivant ces liens (la deuxième photo du premier lien est particulièrement pédagogique) :
Chaque mois, sur le site de la délégation LPO d'Île-de-France, vous pourrez apprendre à mieux connaître une espèce grâce à la rubrique "Espèce du mois", rédigée par des adhérents de l'association.
26 & 27 janvier 2019 – Week-end national de comptage des oiseaux des jardins
26 & 27 janvier 2019 – Week-end national de comptage des oiseaux des jardins
Pour la septième année consécutive, tous les citoyens sont invités à compter durant 1h les oiseaux de leur jardin et à nous faire part de leurs observations. Que vous soyez en ville ou à la campagne, vous pouvez participer !
Comment faire ?
Il n’est pas nécessaire d’être un expert, il suffit d’avoir un peu de temps, d’aimer regarder ce qu’il se passe dans son jardin et de savoir compter. Facile !
- Choisir un jour d’observation, samedi 26 ou dimanche 27 janvier, et un créneau d’1h, idéalement en fin de matinée ou début d’après-midi, lorsque les températures sont un peu plus chaudes et les oiseaux plus actifs ;
- Trouver un lieu d’observation, un jardin ou un balcon, à la ville ou en campagne. Un parc public peut également servir de lieu d’observation ;
- Compter et noter durant 1 heure tous les oiseaux qui visitent le jardin. Pour les reconnaitre plus facilement, des fiches sont disponibles sur le site de l’Observatoire ainsi qu’une fiche d’aide pour le comptage ;
- Transmettre les données sur le site de l’Observatoire des oiseaux des jardins :www.oiseauxdesjardins.fr ou sur la base de données locale de votre département.
Besoin d’aide ?
L’équipe de l’Observatoire des oiseaux des jardins reste à la disposition des participants pour les aider à identifier les oiseaux observées en envoyant de simples photos à : oiseauxdesjardins@lpo.fr.
Si vous avez des questions techniques sur le fonctionnement du site ou si vous rencontrez un problème, nous vous invitons dans un premier temps à consulter le Guide d’aide disponible <<ici>>.
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Merci par avance pour votre aide et bonne journée
posté par Olivier Laporte
vendredi 18 janvier 2019
Statut de la Mésange boréale en Ile-de-France
Depuis le début des années 2000, la Mésange boréale a connu un fort déclin dans notre région. A l'exception d'un bastion subsitant dans le Nord Est de la Seine-et-Marne, sa présence reste à confirmer dans le reste de la région.
Nous invitons donc les observateurs à rechercher la Mésange boréale dans tout milieu favorable (saulaies marécagueses notament) afin de clarifier le statut de l'espèce en Ile de France. Compte-tenu du taux d'erreur particulièrement élevé sur l'identification (Mésange nonnette très similaires, et cris parfois trompeurs), le comité de validation a également du réhausser les exigences pour la validation des données. En dehors des populations clairement connues, une documentation (bonnes photographies et/ou enregistrements) sera désormais systématiquement exigée.
En vous remerciant pour votre vigilance et votre compréhension !
posté par Stanislas Wroza
vendredi 16 novembre 2018
C'est parti pour la 5e saison de BirdLab !
BirdLab est une expérience de science participative basée sur l'observation et le jeu sur Smartphone permettant d'étudier le comportement de nourrissage des oiseaux en hiver. Elle est proposée par Vigie-Nature, le programme de science participative du Muséum national d'Histoire naturelle, en partenariat avec la LPO et AgroParisTech.
Pour les joueurs fraîchement inscrits, nous vous rappelons qu’il faut placer deux mangeoires identiques, distantes d’un à deux mètres, alimentées avec des graines de tournesol.
A partir du 17 novembre, vous pourrez recommencer à nourrir vos oiseaux et à les observer. Vos mangeoires sont-elles prêtes? Vous trouverez sur ce lien un tutoriel pour fabriquer des mangeoires plateau en deux coups de scie (ou presque !).
Ensuite, il vous suffit de télécharger l’application, de valider le quiz et d’attendre au plus quelques jours que les oiseaux repèrent votre petit restaurant.
l'équipe Faune Ile-de-France
posté par Olivier Païkine
dimanche 11 novembre 2018
Rencontres naturalistes de l'Agence régionale pour la biodiversité
La LPO IDF a le plaisir de relayer cette information de l'ARB :
La 10è édition des rencontres naturalistes se tiendra le samedi 1er décembre à la Halle Pajol (Paris 18è) ! Rendez-vous ici pour le détail du programme
Pour vous inscrire (gratuit mais obligatoire),cliquez ici !
Merci de penser à vous désinscrire si vous changez d'avis entre temps.
Au plaisir de s'y rencontrer !
posté par Olivier Laporte
mardi 30 octobre 2018
Aidez le Centre d'Accueil de la Faune Sauvage de Maisons-Alfort !
Bonjour à tous,
nous avons reçu cet appel à l'aide du principal centre d'accueil de la Faune sauvage du Grand Paris : c'est la destination en particulier de quasiment tous les oiseaux trouvés à Paris et Petite Couronne : un certain nombre de jeunes pèlerins nés à Ivry ou à Beaugrenelle leur doivent la vie...
De graves menaces pèsent sur le centre de Maisons-Alfort et il a besoin de notre aide !
Frédéric Malher
Faune Alfort a besoin de vous ! Depuis 25 ans, nous nous engageons à soigner la faune sauvage en détresse et à développer l'offre de soin en Île-De-France. Dans un futur proche, notre centre d'accueil de la faune sauvage, le CEDAF, va perdre ses volières de réhabilitation nécessaires à la préparation des animaux au relâcher, pour cause de travaux. Il est urgent pour nous de construire un nouveau centre de réhabilitation.
Un projet de financement participatif sur la plateforme Ulule a été lancé pour pouvoir réunir les premiers fonds essentiels au démarrage des travaux.
Nous faisons appel à vous pour partager notre projet à vos réseaux et aux personnes sensibles à notre cause. Pour contribuer et/ou partager, voici le lien : https://fr.ulule.com/cedaf-faune-sauvage/
Bien cordialement,
Alice De Ronne
--
Service Communication
Association Faune Alfort
posté par Frédéric Malher
mercredi 24 octobre 2018
Ouverture à la saisie de l'Argiope frelon
Afin de suivre la progression vers le Nord de cette espèce d'affinité méridionale, l'Argiope frelon, araignée facilement identifiable, a été ouverte à la saisie sur Faune-Ile-de-France.
Toute donnée devra être accompagnée d'une ou plusieurs photographies, pour une première saisie.
Les autres taxons ne sont aujourd'hui pas disponibles, et les statuts de rareté non définis, car il n'y a pas d'équipe de validation en place, et l'identification précise est affaire d'expert. Toutefois les spécialistes peuvent se manifester s'ils souhaitent engager l'ouverture d'autres espèces à huit pattes et valider des données.
D'ores et déjà, les personnes saisissant des données d'araignées via l'application Naturalist sont invitées à accompagner leurs observations d'une ou plusieurs photographies ne laissant pas de doute quant à l'indentification, sinon les données seront considérées comme invalides par défaut.Merci à tous d'accepter cette règle un peu contraignante mais qui vise à assurer la qualité de notre base de données.
posté par Olivier Laporte
vendredi 12 octobre 2018
Rapport CHR sur les oiseaux rares en 2017
Le Comité d’Homologation Régional vient de publier son rapport sur les oiseaux rares dans notre région en 2017.
Cette synthèse regroupe l’ensemble des données validées des espèces soumises à homologation l’an dernier. La très grande majorité de ces données proviennent de FauneIDF, le reste provenant de Cettia et de quelques rares signalements directs au CHR. Ce rapport fait ressortir encore une fois la complémentarité des deux bases de données régionales, les mêmes oiseaux étant souvent signalés sur les deux plateformes à des dates différentes et certains secteurs géographiques étant couverts de façon privilégiée par l’une ou par l'autre.
Le CHR remercie chaleureusement tous les observateurs qui transmettent leurs données, photos, sons et dessins et qui répondent avec patience, bonne humeur et compréhension à ses demandes de compléments parfois tardives.
Pygargue à queue blanche de Sorques.Informations recueillies par Louis Albesa le samedi 29 septembre auprès de Monsieur Pierre Cadéac :
- ce jeune pygargue à queue blanche est un mâle, né de parents de souche européenne détenus en captivité, à quelques kilomètres de Sorques, sur sa propriété où il a les capacités pour détenir, élever, et éduquer toutes sortes d’animaux sauvages en vue d’en faire des acteurs pour le cinéma et la publicité.
- Ce jeune mâle pygargue est porteur d’une puce électronique contenant les informations sur son origine.
- Il s’est échappé au mois d’avril suite à la chute accidentelle d’un peuplier sur sa volière, qui a créé une ouverture par où il a pu s’envoler.
- Il est né il y a 3 ans (né en 2015 il est bien en 2018 dans sa 4e année civile comme nous l’avons dit dès le début).
- Destiné à son tour à la reproduction, il n’a jamais été éduqué pour devenir acteur de cinéma, et son imprégnation est donc très limitée.
- Dans les premiers temps, inquiet pour son oiseau, Pierre Cadéac l’a surveillé, et puis voyant qu’il semblait bien se débrouiller tout seul pour se nourrir (il l’a vu chasser et se nourrir de lapins de garenne) il a hésité à tenter de le récupérer et à déclarer sa perte. Du coup il pense faire don de son oiseau à la nature pour que tout le monde en profite.
Ce jeune mâle sera bientôt reproducteur, et sa descendance de souche européenne le rend parfaitement compatible à se croiser avec « nos » pygargues à queue blanche, alors pourquoi cet accident ne pourrait-il pas aider à renforcer la population nicheuse de cette espèce en France ? Alertée depuis le 20 août de la présence de cet oiseau à Sorques, la LPO Mission rapace a été tenue informée via Yvan Tariel (Responsable des programmes nationaux de conservation) et Christian Pacteau, (éthologue et spécialiste reconnu en matière d’élevage de rapaces) qui ont apporté conseils et expertise jusqu’à cette issue visiblement acceptée en souhaitant longue vie à ce pygargue dans la réponse adressée à Louis Albesa ce 02/10/2018.
L' oiseau à pris la direction du Sud, et a été photographié dans le secteur de Pithiviers (Loiret) le 22 septembre.
posté par Stanislas Wroza
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Ligue pour la Protection des Oiseaux Délégation Île-de-France
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