Par Frédéric MALHER
Cela fait plus de deux ans et demi que Faune-IdF est ouvert et, depuis le 1/4/2011, ce sont plus de 676 000 données (au 31/10/2013) qui ont été recueillies (sans compter les données plus anciennes qui ont été reportées par de nombreux observateurs).
En plus de l’intérêt d’apprendre la présence de telle ou telle espèce plus ou moins rare, ce type de site a aussi pour but de pouvoir interpréter le nombre de données recueillies sur des espèces moins rares ou communes pour en tirer toute sortes de renseignements, par exemple suivre les passages migratoires, mais aussi les variations d’effectifs d’une région à l’autre ou d’une année à l’autre.
Dans un article du Grand-Duc (Guelin 2013), l’auteur étudie les différentes manières d’estimer la pression d’observation pour relativiser les variations du nombre de données de telle ou telle espèce dans le temps ou dans l’espace. Il aboutit à la conclusion que le nombre total de données sur une période donnée constitue un indice acceptable de la pression d’observation… ce qui est bien pratique, car c’est plus facile à obtenir que le nombre de « listes d’observations » qui seraient plus précises !
Il est donc utile de se pencher sur la manière dont a varié jusqu’à présent ce nombre de données, dans le temps ou dans l’espace francilien.
Pour télécharger cette étude, cliquez sur le lien ci-dessous :
https://cdnfiles2.biolovision.net/www.faune-iledefrance.org/userfiles/PressiondobservationenIdF.pdf
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